» Danse Macabre « Serie
personnages inspirés du Requiem en ré mineur de Mozart, Lacrimosa dies illa.
L'origine de cette série remonte à un soir où, tard dans la nuit, je me suis laissé emporter par l'écoute répétée du Requiem en ré mineur de Mozart. La musique a toujours suscité en moi des visions, parfois abstraites, sous forme de tourbillons de rythmes et de matières, parfois plus figuratives. En me plongeant dans ce Requiem, j'ai repensé à la série « Blacks » de l'artiste Erwin Olaf : des personnages et des décors inspirés du baroque, entièrement vêtus de noir mat, les yeux fermés ou voilés.
La série « Danse Macabre » met en évidence la futilité des distinctions sociales, balayées par le destin qui frappe sans distinction, des plus riches et fiers aux plus modestes et démunis. Cette allégorie s'adresse aux vivants, les incitant à réfléchir sur leur condition. Elle apaise les humbles et rappelle aux puissants qu'aucune richesse ni aucun rang ne peut protéger de la mort.
Dans « Danse Macabre », les anges de la mort et les personnages aux somptueuses parures se côtoient, témoignant que ni les parures ni les vêtements opulents n'ont pu les protéger de leur destin. Tous partagent le même sort : aucun d'entre eux n'a « vu » la mort arriver.
intelligenceartificielle
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